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“C’est fin, c’est drôle et intelligent. Courez-y vite”

l’Humanité (Les Arpenteurs)
“Dans la délicate relation entre le travail de l’écrivain et celui de l’interprète danseur (…), entre la place du texte et celle du corps, la chorégraphe Sandrine Buring et l’auteur-metteur en scène Stéphane Olry nous offrent une prestation de choix. Délicate et subtile.”
Télérama (Ch(ose) + Hic sunt leones)
“Rapporteur poétique, documentariste à fleur de peau.”
Médiapart (Ch(ose) + Hic sunt leones)
“Corine Miret et Stéphane Olry développent une écriture qui pousse jusqu’à l’extrême la limite entre processus de création et représentation de ce processus, compte rendu de la fabrication d’un spectacle et élaboration d’une fiction (...) A chaque fois, l’histoire individuelle rejoint l’histoire collective, voire nationale”
Théâtre/Public, propos recueillis par Anne Monfort

“Un théâtre documentaire sur lequel souffle un vent de poésie”

L’Humanité (La Tribu des Lutteurs)
“Pour son spectacle hors normes, Stéphane Olry a travaillé un peu à la manière des artistes du body art, mais sans s’exhiber pour autant.”
Le Nouvel Observateur (Treize semaines de vertu)
“Postée tel le géant de Gulliver au milieu de ce paysage en construction, Miret irradie d’émotion. Disponible ainsi qu’elle le fut durant sept semaines, comme traversée de part en part par la rumeur du monde, mais aussi par les résurgences de son enfance à Pithiviers, dans les plaines agricoles de la Beauce. Immobile, alors que tout bouge autour d’elle.”
Liberation (Un voyage d’hiver)