Encore aujourd’hui, des supporters demandent que leurs cendres soient dispersées sur la pelouse du stade Geoffroy Guichard. Nous sommes allés à Saint-Étienne. Nous avons découvert une ville ouvrière, mélancolique et attachante. Nous avons recueilli les souvenirs de ceux qui depuis des années se retrouvent dans les tribunes pour partager leur ferveur pour les Verts. Ces témoignages nous ont emmenés bien au-delà du stade, de la ville, de l’histoire du pays où nous vivons.